La tête de mort se retrouve de partout : tatouages, vêtements, art… mais au fait, qu’est-ce qu’elle signifie ? Tentons d’y voir plus clair !
La tête de mort et son histoire
Historiquement, la tête de mort composée d’un crâne posé sur deux tibias, représentait le danger, le risque. Le but était de vous rappeler que la mort vous sera inévitable, d’où son lien très étroit avec les pirates, qui voulaient effrayer leurs victimes pour éviter toute tentative de riposte.
La mode de la tête de mort
La mode de la tête de mort a explosé avec l’arrivée du style gothique. Elle est alors devenue synonyme de rébellion et se retrouvait essentiellement sur des accessoires du style vestimentaire, gadgets ou encore bijoux. Les plus jeunes s’immergent dans cette mode, ce qui a impacté une adaptation des grandes marques.
La tête de mort, le tatouage classique
Là encore, la tête de mort peux vouloir dire « rébellion », mais pas que. Elle reflète l’aspect provocateur et rappelle la peur. C’est un moyen d’accepter l’idée que toute chose a une fin, la vie inclue. Faire face à son destin, ou faire ressortir quelques séquelles vécues dans le passé. Il peut aussi être associé à des groupes, comme en prison par exemple ou encore avec les motards.
La tête de mort dans le milieu artistique
La première utilisation de la tête de mort remonte au Moyen-Age, avec une signification initiale de « salut », qui évoluera peu à peu en une mise en valeur des papes. Elle prendra alors place dans de nombreuses œuvres pour symboliser d’une part l’écoulement du temps, mais surtout la vie après la mort.
Elle sera reprise plus tard par de grands peintres, comme Salvaodr Dali, ou encore Pablo Picasso, ce qui deviendra une tendance à symbolique complètement différente d’une œuvre à une autre, essentiellement concernée par les tableaux et sculptures.
De nouveaux artistes se lancent dans l’art squelettique, pour reprendre la signification antique tout en faisant évoluer la signification avec des idées nouvelles, en reflétant leur grand intérêt de la représentation 2D ou 3D. C’est par exemple le cas de Marcelline Lapouffe, qui focalise ses peintures et productions sur l’utilisation d’ossements.